Reconnaissance de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

Deux employés de Manitoba Hydro se tiennent ensemble, tenant le drapeau des survivants avant qu’il ne soit hissé sur le mât à l’extérieur de Manitoba Hydro Place.

Au début du mois, des employés ont hissé le drapeau des survivants à l’extérieur de notre siège social au centre-ville de Winnipeg.

Le 30 septembre, nous fermerons nos bureaux en reconnaissance de la Journée du chandail orange et de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Les services d’urgence resteront ouverts et disponibles au 1-888-624-9376.

« Nous reconnaissons que ce parcours puisse être différent pour chaque Manitobain c’est pourquoi nous souhaitons que nos employés disposent de l’espace dont ils ont besoin pour honorer cette journée », explique Allan Danroth, président-directeur général. « Pour certains, c’est un moment pour prendre du temps avec leur famille et leur communauté. Pour d’autres, ce sera l’occasion d’en apprendre davantage et d’assister à un événement local en guise de reconnaissance ».

Le 19 septembre, nous avons hissé le drapeau des survivants en l’honneur des personnes ayant subi les conséquences des pensionnats. Il flotte maintenant à l’extérieur de notre siège social, dans le centre-ville de Winnipeg. Ce vendredi 27 septembre, nos employés sont encouragés à porter un chandail orange pour commémorer la Journée du chandail orange.

Chaque année, le groupe de sensibilisation aux questions autochtones de Manitoba Hydro vend des chandails orange « Every Child Matters » (Chaque enfant compte) pour collecter des fonds. Cette année, le produit de chaque vente sera reversé au Centre national pour la vérité et la réconciliation.

« Les chandails orange ont été conçus par Paula Topsky Houtz avec soin et respect. Ils symbolisent l’engagement pour la réconciliation. En achetant et en portant un chandail orange, vous contribuez à sensibiliser la population et à soutenir les peuples autochtones, en ce jour où nous nous souvenons des conséquences et des traces qu’ont laissées les pensionnats indiens », déclare Kevin Monkman (relations avec les Autochtones et les communautés).

Le dessin de cette année représente une mère et son enfant.